DÉVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE : LE PLAIDOYER DE ANNE FRANCOISE MANGA
Elle est une terre d’instruction, d’éducation, ce qu’il lui faut c’est de scinder en trois les ministères de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation technologique, et d’allouer à chaque ministère un budget important. Il y a aucune nation sur cette terre qui s’est développée sans la science où en formant ces élites ailleurs. Il lui faut des universités purement scientifiques des écoles doctorales dans chaque région africaine, et des écoles d’ingénieries, dans chaque ville. De doter à tout étudiant quel que soit sa mention au baccalauréat une bourse nationale, une bourse entière pour les étudiants sortis des séries S, T et G. Former ses enfants aux disciplines de la physique des matières, de la physique ondulatoire, de la physique théorique, de la physique mécanique dans toutes les composantes que sont la biophysique, la physique des plasmas, la physique de l’atmosphère, la physique de la matière condensée, la physique nucléaire, la physique des particules élémentaire, acoustique, physique atomique, physique des particules, dynamique des fluides, physique moléculaire, optique, physique des plasmas, mécanique quantique, la physique des états solides, mécanique statistique, thermodynamique, l’électronique, la cosmologie, physique atomique, l’hodologie, l’hydrologie, la rudologie géodésie, la météorologie, l’océanographie, la sismologie, la volcanologie, la géomorphologie, analyse spatiale, astronautique, la géographie physique, la géographie mathématique, culturelle, économique, la géoponique, la géopolitique, la démographie, géographie religieuse, la géographie sociale, géographie électorale, humaine, linguistique, militaire, physique, rurale, urbaine, genre, littorale, publique, sacrée, industrielle, de la population régionale, des télécommunications, des transports la reformes de la carte judiciaire la Geo informatique, la géo perspective, la sismologie la limnologie, la missiologie la nosologie, la topographie, la toponymie, l’exploration, de la chimie analytique, de la chimie inorganique, de la chimie physique, de la chimie des polymères, de l’électrochimie, de la géochimie, de la pétrochimie, de l’astrochimie, de l’aéronautique, de l’aérospatiale, de la robotique, de la chimie nucléaire, de l’alchimie, de l’astrophysique, de la géophysique, de la géomatique, des mathématiques, et de la technologie. Pour l’autonomisation de l’agriculture il faut créer des D.A.C dans les zones peu pluvieuses, dans toutes les zones rurales et dans toutes les villes africaines. Pour tout élève sorti des séries S1, S2, S3, C ou D pour certains pays il faut accepter ces élèves par concours ou par sélection de dossiers pour ceux ayant obtenus la mention assez-bien, bien ou très-bien au baccalauréat et ces écoles
d’ingénieries continentales doivent être construites dans les régions situés à l’intérieur des pays africains pour lutter contre l’exode et le flux migratoire des étudiants dans les capitales. Elles doivent former les métiers d’ingénieures suivants : avionique, pétrolière, gazière, automobile, ferroviaire, mécanique, aérotechnique, génie spatial, et enseigner les disciplines suivantes : mécanique / dynamisme de vol, mécanique spatiale, aérodynamique et propulsion, science de l’univers, systèmes aéronautiques, systèmes spatiaux, satellites, lanceurs. Ces écoles d’ingénieurs doivent former des ingénieurs en environnement, des ingénieurs en architecture, agronomie, génie civil, des ingénieurs en système financier, en système réseau, ingénieur consultant, ingénieur d’étude, bâtiment et travaux publics, biologie, géologie des mines, électrique, électronique, électrotechnique, formation d’études et développement, génie industriel, industrie, génie industrie, maintenance qualité, ingénieur généraliste, ingénieur en modélisation et stimulation, ingénieur technico- commercial, ingénieur production, ingénieur industrialisation, ingénieur d’études prix, ingénieur processus, ingénieur maintenance, ingénieur conception mécanique, ingénieur systèmes, ingénieur chimiste, ingénieur en réseau et télécommunication , ingénieur commercial en informatique, ingénieur de contrôle de navigation aérienne, ingénieur de son, ingénieur en construction aéronautique et spatiale ingénieur en intelligence artificielle, ingénieur forestier, ingénieur frigoriste, ingénieur en logiciel informatique, ingénieur opticien, ingénieur papetier, ingénieur plasturgiste, ingénieur en recherche et développement, ingénieur sanitaire, ingénieur calcul, ingénieur d’études et conception, ingénieur d’essai de vol, ingénieur en aérodynamisme, ingénieur en conception de pièces, ingénieur informaticien, ingénieur en propulsion, ingénieur d’essai, ingénieur en recherche et développement structure, ingénieur piste avion, ingénieur travaux, ingénieur méthode, ingénieur qualité, ingénieur. Pour tous ces métiers d’ingénieurs il faut former aussi des techniciens, vous savez le problème de l’Afrique c’est qu’on a les mêmes filières et le marché de travail est saturé donc il faut créer de nouvelles filières pour créer de l’emploi et faire développer le continent. Ce qu’il nous faut c’est des écoles d’ingénieurs dans toutes les villes africaines et des universités scientifiques dans les régions africaines et des industries. Ces dernières doivent former des chercheurs en astronomie, en astrophysique, en théologie, en archéologie, assistant d’ingénieur, des ingénieurs et chercheurs biochimistes, chercheurs en biologies, ethnologue, ethnomusicologue, gemmologue, généticien, hydrogéologue, microbiologiste,
chercheur en biologie ou biologiste, chercheur, chercheur post-doctorat, historien, météorologue, océanographe, paléontologue, responsable en laboratoire, technicien biologiste, technicien chimiste, botaniste, bio-informaticien, économiste, géographe, géotechnicien, ingénieur, open data manager, physicien, statisticien, volcanologue, ingénieur en science des matériaux, hydro-écologue, pharmacien dans l’industrie, épidémiologie, assistant de prévision des flux, operateur de l’industrie nucléaire, technicien en optique de précision, assistant ingénieur, ingénieur biomédicale, ingénieur recherche et développement, ingénieur procédés en chimie, formateur, pédologue, radio physicien en radiothérapie, responsable de laboratoire test, technicien chimiste, assistant technique de fabrication, laborantin, technicien de formulation, ingénieur en mathématique appliquée, modélisation et simulation, ingénieur ferroviaire, technicien biologiste, aide biologiste, rudologue, climaticien, recycleur, aide chimiste, concepteur en génie de procédés, chercheur en nutrition humaine, biologiste en environnement, responsable de laboratoire de contrôle chimie, ingénieur de laboratoire dans la police scientifique, ingénieur chercheur, ingénieur en mécanique des fluides, ingénieur généraliste, ingénieur en recherche analytique, ingénieur en optique acousticien, ingénieur instrumentaliste, technicien d’analyse biomédicale, formateur de produit alimentaire, hydrogéologue, ingénieur météo, responsable de fabrication, operateur et technicien de traitement des matériaux, aromaticien, ingénieur chimiste, ingénieur statisticien, ingénieur en génie nucléaire, chef de quart de navigation aérienne, géophysicien, biostatisticien, démographe, expert en balistique, cytologue, généticien, technicien de laboratoire médicale, Nez, spécialiste des affaires règlementaires en chimie, spécialiste d’application produit (chimie), ingénieur géologue, ingénieur de développement, biologiste marin, cytologue, chargé pharmacovilence, chaudronnier, chiropracteur, conducteur de machine agricole, conseiller info-énergie. Si l’Afrique a de la peine à trouver de l’emploi pour la jeunesse c’est par ce que l’offre d’emploi est le même partout, nous allons diversifier l’offre en créant de nouvelles filières n’existant pas en Afrique et dont l’Afrique en a besoin pour son développement et si l’on ne trouve pas les spécialistes africains pour les formations il faut les chercher ailleurs. Aucun pays ne s’est développé sans une jeunesse bien formé où qui chôme. Aucune nation qui aspire au développement n’a formé sa jeunesse à l’étranger.
Pour la rentrée 2021/2022 IL faut transformer le lycée Limamoulaye de Guédiawaye, le lycée Djignabo Basséne de Ziguinchor, le lycée Ahoune Sané de Bignona la maison d’éducation Mariama BA de Gorée, le lycée André peytavin de Saint-
louis etc. Et crée dans chaque ville sénégalaise et africaine des lycées scientifiques accueillant des élèves de la série S1, S2, S3, S4, S5, T et G.Comme par exemple dans la commune de Ziguinchor n’a pas assez de lycées il faut y ouvrir de nouveaux lycées, il faut crée la série S3, S4, S5, T et G à Ziguinchor pour la formation de la jeunesse et l’emploi de la jeunesse.
PAR ANNE FRANCOISE MOSSANE MANGA